Session sup du 22 juin 2014 à cause de douleurs aux côtes une costochondrite ?

Le 22 juin, je suis allé faire une session de sup sur du flat car absence totale ne serait-ce que de débuts d’ondulation… L’occasion de retester mes 2 stand up paddle starboard 8’10 et 8’2. C’est pas très grand mais ça tourne du feu de dieu. on sent que la 8’2 a moins d’inertie, du coup elle n’a quasiment aucune inertie…

Obligé de me remettre au stand up paddle suite à une douleur persistante aux côtes. J’ai dû faire un peu trop de longboard et le manque d’habitude m’a peut être occasionné une costochondrite.

j’ai découvert cette drôle de pathologie qui est très fréquente chez les surfeurs grâce au site surf-prevention de notre ami guillaume (qui est médecin à Biarritz).

J’ai rendez vous mercredi avec un médecin du sport qui confirmera ou infirmera ce diagnostique….

J’éspère que c’est autre chose car sinon à priori je devrais faire un break de surf….

On est le 25 et je suis donc allé à l’hôpital voir le médecin du sport…

J’ai raté ma vocation car c’est bien une costochondrite… Abstinence totale pendant 1 mois ferme et sursis pendant 1 mois… c’est sympa pour juillet et aout, période de l’année ou les températures sont les moins clémentes….. Mais bon Cela me permettra de faire surfer sarah et de me baigner et d’initier yael au bodyboard…

Moralité : si vous vous mettez à un nouveau sport, allez y mollo si vous ne voulez pas vous abimer……

Session Oleron 14 et 15 juin 2014

Premieres sessions dans le vent….

Samedi, il y avait une compétition donc du coup pas mal de monde et ça rajoutait encore au stress.

J’avais pris pour ces 2 sessions la ITP.

Samedi vent side shore très difficile de prendre des vagues et parfois ça devenait un peu gros pour moi (toujours mon appréhension).

Dimanche vents off shore / side shore du coup même en ramant à fond les take off étaient très durs.

Aurais-je dû m’avancer plus sur le longboard(mais dans ce cas la je suis sûr que j’aurais enfourné direct), aurais je du prendre les vagues plus tardivement car elles n’étaient pas très puissantes par rapport au vent de face qui freinait ma planche ? Fallait-il ramer plus fort (la il me faut une deuxième paire de bras).

il aurait sûrement été plus judicieux ce jour la de sortir la hobie qui était plus lourde et avec un rocker tendu…

C’est le métier qui rentre….

En fin de journée j’ai enfin pu prendre quelques vagues..mais a nouveau avec les genoux…

Je suis impatient d’avoir mon prochain cour… Dur dur d’être débutant…

 

 

 

Interview de Volodia Pertsowsky dit « volo »

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Bonjour Volo, tu es le responsable de l’école de surf take off aux allassins sur l’ile d’Oleron. Pourquoi avoir choisi cet endroit ?

 

-Salut, j’ai choisi cet endroit car c’est le spot où j’ai vraiment appris à surfer. Sentimentalement, il a aussi une grande importance pour moi car en 1989 mon père et quelques amis y ont créé la « Cabane des allassins » (TAKE OFF surf club). Pour des raisons, politique la cabane a disparue en 2003. En 2009, j’ai soulevé terre et mer pour y installer mon école…. une sorte d’hommage 🙂

 

As tu des souvenirs ou anecdotes des années 80 lorsque ton père avec quelques amis avait créé la cabane ?

 

-J’y passais toutes mes journées en été. j’étais soit en train de manger le fameux « bol du surfeur » (bol de céréale incontournable) soit dans l’eau. Tous les surfeurs d’Oléron s’y retrouvaient. Il y avait une super ambiance. Quand il n’y avait pas de vagues il y avait un terrain de beach volley. Je me souviens des fin de journée, tout le monde restait tard pour profiter du couché de soleil sur la terrasse de la cabane.

 

Depuis quand pratiques tu le longboard ?

 

– Je devais avoir une dizaine d’années. Quand les vagues étaient trop petite pour surfer en shortboard, j’empruntais une des BIC 8′ que mon père louait sur la plage. Je prenais un max de vagues et m’amusais beaucoup. J’ai gagné quelques compétition locales et amicale sur ces planches. J’ai donc décidé de m’en faire shaper un par mon sponsor de l’époque, je devais avoir 14 ou 15 ans.

 

Tu as été 10 fois champion régional et tu faisais parti du top 10 en longboard, tu as arrêté les compétitions ?

 

-Ca fait un moment que je n’ai pas fait de compète de longboard. En septembre, il y aura les championnat de France master (+ 28 ans) surf et longboard sur l’île d’oléron, j’y serai présent !

 

Préfères tu le style old shool ou es tu plutôt « moderne » ?

 

-Tout dépend des conditions et de l’envie du jour. J’ai quand même une petite préférence pour le « classic ». c’est la base du longboard; glisse, trajectoires, nose ride….

 

Quel est ton quiver en longboard ?

 

-J’ai une BIC 9′ que je considère comme ma planche « moderne » et j’ai une UNCLE BUCK shapé par UWL Renaud Cardinal.

 

Quel est ton spot préféré et pourquoi ?

 

-Les Allassins, c’est là où j’ai appris et grandi en surf. Je la connais par coeur. C’est une vague difficile car assez molle mais quand les conditions sont réunies, c’est une droite avec un mur qui n’en fini pas.

 

Quelle est la planche que tu conseillerais à un débutant qui n’a jamais fait de surf avant ?

 

-Je lui conseillerai une planche grande, avec du volume et surtout solide.

 

As tu des projets en particulier ?

 

-Pour le moment faire un sorte que mon école de surf  continue de me faire vivre. Surfer un maximum. et faire encore quelques voyages au chaud…!

 

Que penses tu de l’idée de la fédération d’imposer des côtes aux planches pour les compétitions longboard ?

 

Ca me parait assez logique. Un longboard a une taille minimum de 9′ (2m74). Après chaque surfer est libre de choisir la largeur et l’épaisseur de sa planche. Tout dépend de ce qu’on cherche comme style. Ces dernière années les critères de jugement mettaient en valeur le surf moderne. En conséquence, les longboardeurs avaient des 9 pieds avec très peu de volume afin d’avoir une planche très légère donc maniable pour se rapprocher des trajectoires qui se rapproche de nos amis shortboardeurs! Cette année les critères de jugement, en longboard, ont changé et prônent un surf plus « classic »… On verra peut être des planche un peu plus volumineuse..?

 

Volodia Pertsowsky
 
TAKE OFF école de surf
Tél : 06 33 62 93 13

Bien choisir sa combinaison néoprène de surf

Bien choisir sa combinaison de surf est essentiel pour profiter pleinement de ses sessions sans avoir froid.

La premiere question à se poser est chest zip ou back zip ? Autrement dit ouverture dans le dos ou au niveau de la poitrine

Backzip : l’avantage de la combinaison backzip est sa plus grande facilité pour la mettre. Par contre l’eau rentre plus facilement au niveau du col (même pour du haut de gamme comme mes patagonia) et elles sont moins souples au niveau du dos.

Frontzip ou chestzip voir même zipless : Il faut prendre le coup de main pour les mettre. Au début je galérais et devait demander à mon épouse de m’aider, mais en 2 ou 3 sessions, on capte vite la façon de procéder et je ne reviendrais pas en arrière à présent car l’avantage principal est qu’il n’y a plus d’entrée d’eau par le col (du moins sur les flashbomb de chez rip curl que j’utilise). Un véritable bonheur car le coulis d’eau froide qui entre par le cou en hiver est des plus désagréable…

Il faut à présent choisir l’épaisseur de votre combinaison en fonction de la température de l’eau (et aussi quand même un peu de l’air). L’épaisseur est une chose mais la qualité du néoprène joue aussi beaucoup car certaines 3/2 sont plus chaudes que certaines 4/3.

Par ailleurs certaines combinaisons sont plus souples que d’autres, certaines sèchent plus vite, certaines durent plus longtemps…

Cela dépendra grandement du budget que vous voulez consacrer à votre 2 ème peau…

 

Pour nous contacter

Envie de nous contacter ? c’est très simple, c’est ici…

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A très bientôt

Histoire du longboard

Je me suis décidé à faire un petit article sur l’histoire du longboard. merci par avance pour votre indulgence. Si des erreurs se trouvent dans cet article n’hésitez pas à me le dire.

Le surf est une activité très ancienne. En effet, le capitaine cook en parle déjà il y à 300 ans…

Mark twain en 1866 relate également le surf à hawaï par les autochtones de tout âge.

Les longboards sont les premières planches modernes de surf. En effet, ce n’est que dans les années 1960 que les premières planches plus courtes font leur apparition, les fameux shortboards.

En France c’est à Biarritz en septembre 1956 que le surf arrive

Les planches de surf longboard sont au début des planches lourdes et qui se manoeuvrent difficilement. Le rocker est peu prononcé permettant de prendre les vagues lorsque celles ci ondulent. Mais du coup le late take off est chaud…

Au fil des décennies le shape va se modifier pour arriver au longboard performance que l’on trouve aujourd’hui (9′ minimum) et qui, sans avoir la radicalité d’un shortboard va être beaucoup plus maniable et vif.

Je ne peux que vous conseiller la lecture du site longboardfrance.com à ce sujet

http://www.longboardfrance.com/his/pah.html

 

 

8 juin 2014 : test de la ITP

Première session avec ma In the Pink. La veille j’avais testé la Hobie dans des micros vagues à Pontaillac et ça partait pas mal… Pour la Hobie, on sent qu’on a du lourd sous les pieds, pas le genre de planche avec laquelle on va faire des figures folles, en même temps ce n’est pas son programme et je n’ai pas le niveau 🙂

Donc J’arrive sur mon spot à Oléron et la…je dois patienter 20 minutes pour trouver une place grâce à un gar sympa qui déplace son van pour que je puisse mette le mien à côté… Par contre, ami belge qui te gare avec ton énorme camping-car en prenant 4 ou 5 places parce que tu ne te mets pas en épi comme tu es pourtant obligé de le faire (en belgique on parle français aussi non ? le panneau dit stationnement en épis obligatoire), je te merde comme dirais un de mes anciens collègue Michel.

Donc cet incident passé, je retrouve Volo (j’avoue avoir hésité à mettre son nom pour le garder pour moi mais bon il mérite bien d’avoir plein de stagiaires pour leur apprendre les joies du surf aussi) pour un cours collectif avec 4 autres personnes. Les conditions sont assez impressionnantes pour moi, je dirais entre 1,5m et  2m. Nous prenons donc les mousses. Il y a pas mal de courant, c’est vraiment impressionnant pour un petit coef de marée comme celui la.

Au passage son école est née un 1 er Avril…comme moi…Ca ne pouvait que coller…

Quelques gamelles, le temps d’apprivoiser ITP et ça roule… Enfin ça glisse. But de la journée, faire les take off sans les genoux.

Il est marrant ce prof…et j’en fais quoi de mes genoux moi ? Comment tu veux que j’y arrive ? Je peux commencer par n’en mettre qu’un seul ? (son regard noir me fait comprendre que non…pas la peine de tenter une autre négociation)…OK… 🙂

Le cour se terminant, Volo prend un autre cours en individuel. Etant à côté de lui je bénéficie de conseils de temps en temps…merci Volo.

Vers 16h00 le miracle se produit…Take off sans les genoux comme le dit la chanson de france gall « c’est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup »

Ne me demandez pas comment j’ai fait, je n’en sais rien. J’ai lâché le cerveau et quasi tous mes take off (je dirais 95%) se sont fait sans les genoux. Merci Volo…

J’ai prêté ma planche à Volo afin qu’au moins une fois cette planche sache ce que c’est que surfer une vague 🙂 on a eu le droit à toutes les techniques pour passer la barre et à un superbe hang ten… Dommage, je n’avais pas mon appareil photo car j’aurais pu faire croire que c’était moi… 🙂